Tous nos produits sont fabriqués en France et de façon artisanale
Conseils techniques
- Qu’est ce que la Digigraphie ?
- Quelles sont les prestations de votre Laboratoire ?
- Quel papier choisir ?
- Quelles sont les résolutions pour mes fichiers ?
- Pouvez-vous nous aider à développer nos fichiers en RAW, TIFF ou JPEG ?
- Quels sont les avantages de Photo Labo Pro
- Gérez-vous les demandes particulières ?
- J’ai changé de laboratoire, mais je n’ai pas retrouvé tout à fait les mêmes couleurs que votre confrère. Est ce normal ?
- Quel mode de couleurs devons-nous vous fournir en RVB LAB ou CMJN
- Mon image ne contient pas de profils icc ?
- Quels formats acceptez-vous ?
- Quelle définitions pour mes fichiers ?
- Vous contentez-vous uniquement d’imprimer les fichiers ?https://www.digigraphie.com/fr/index.htm
Tirage Digigraphie conservation de 80 a 200 ans
Tirage photo Fine-art conservation de 50 à 100 ans
Tirage sur papier premium conservation de 30 à 60 ans
Photo contrecollé sur Dibond de 2 mm
Photo contrecollé sur Dibond de 3 mm
Photo contrecollé sur PVC expansé de 3, 4, 5, 10 mm
Fabrication sur place de caisses américaine en bois
Toile sur châssis
Epreuve de contrôle certifié Fogra 39 L
Reproduction d’art de peintures, dessins, illustrations.
Numérisations de négatifs et positifs jusqu’au format 6 x 9 cm en HD 16 bits.
Corrections des fichiers,
Retouches photos
Photomontage.
Photogravure en RVB en CMJN
Tirage sur encre solvant. Bâches, Toiles, Papier photos,
Aucune sous traitance
1 Le papier mat
À cette question, il est délicat d’y répondre spontanément. Il y a une partie technique et subjective. Pour vous guider globalement le papier mat est fabriqué avec différentes allures du lisse aux texturés. Il est d’un aspect peau de pêche, velouté, d’une grande densité et une gamme de couleurs relativement large. Ce papier est fragile au touché, marque facilement et demande une manipulation de préférence avec des gants en coton.
2 Le papier semimat
Contrairement au papier mat, il est moins fragile à la manipulation, à une densité et réflexion de la lumière plus importante. Les noirs sont plus riches et profonds, le contraste est plus soutenu. Il a une blancheur et neutralité plus affirmée.
En fait, la capacité de l’œil à distinguer les détails est tributaire de la distance d’observation. Si vous observez un tirage à une distance de 20 cm vos yeux seront capable de distinguer 420 ppp points par pouces. A 60 cm du tirage, ils ne verront plus que 143 ppp. il est important de livrer des fichiers d’une résolution de 200 à 300 dpi. Des détails plus fournis vous seront présentés sur le blog.
Vous serez conseillé guidé, le hasard n’a pas sa place.
Choix des papiers, du format, de la résolution et des agrandissements. Nous ne pouvons prétendre dénouer vos problèmes sans pouvoir nous concerter. Je vous invite au laboratoire, à essayer en votre présence nos différents supports.
C’est la meilleure des solutions pour bien cerner vos besoins.
Nous sommes ouverts à toutes sortes de vos besoins, dans la mesure de nos expériences et expertises. Nous fabriquons, des grands formats non mentionnés sur le site. Des marges blanches peuvent être appliquées à vos œuvres. Des repères de découpe. Contre collage sur carton. Pour toutes autres demandes spécifiques, veuillez svp vous mettre en relation avec le laboratoire.
Pour que vous puissiez retrouver exactement les identiques couleurs d’un laboratoire à un autre, il faut tenir compte de plusieurs paramètres techniques qui peuvent varier.
C’est-à-dire utiliser la même référence d’imprimante, l’équivalent nombres de cartouches de couleurs, les encres d’origine analogues, le même papier, le profil icc de fabrication d’impression absolument identique, « ô combien complexe ».
Nous nous rendons bien compte de la difficulté de l’exactitude de la reproduction.
L’impression Fine-Art demande un spectre de couleurs relativement large. Il est dommageable de vous priver de certaines nuances teintes et couleurs au passage du mode de couleurs de RVB et CMJN. Cette adaptation appartient au monde de l’impression industrielle.
Les fichiers doivent être travaillés du développement au traitement ; toujours en RVB et utilisé uniquement ce dernier. En aucun cas, vous ne devez les convertir en CMJN, vous risquez de manquer tout le bénéfice du spectre de couleurs d’un tirage fine-art en RVB.
Il est toujours préférable d’appliquer un profil Icc, sans celui-ci, nous ne serons pas en mesure de respecter vos couleurs. Pour cela, rendez-vous dans Photoshop et attribuez-lui un profil. Adobe 98, c’est déjà un bon point de départ.
Nous acceptons les formats de fichiers TIFF, PSD, JPEG, les PDF et également les RAW.
Dans l’imagerie numérique, la définition est le résultat de la multiplication de ses dimensions en pixels et peut être convertie en pouces, centimètres, pixels ou autres unités de mesure.
Exemple : une photo de 30 cm de hauteur x 20 cm en largeur est de 3543 x 2362 pixels.
Il est inconcevable de ne pas contrôler un fichier avant même de l’imprimer. En effet, il y a beaucoup de paramètres pour envisager l’impression finale. Les tons clairs, foncés, la gradation, le format, la résolution, le profil icc. Passage obligatoire pour obtenir toute la quintessence d’un tirage fine-art digne de ce nom.
Aide Administrative
Après vous êtes enregistré, il suffira de vous connecter à votre compte via le menu en tête du site, « mon compte ». Vous y découvrirez vos commandes, vos téléchargements, et les détails de celui-ci.
La gestion des couleurs
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- La gestion des couleurs est recommandée pour mes travaux au quotidien et les expériences de mes utilisations auprès de Photo Labo pro, pour l’obtention en autres de mes certifications.
- Le guide est d’une utilité pour les fondamentaux d’une chaîne graphique, on peut appliquer la gestion des couleurs pour ses besoins personnels ou professionnels. Mais, quel que soit le choix envisagé, il y a une étape inévitable qui est de calibrer en priorité son écran.
- Si votre curiosité est au-delà de cette information ou pour votre culture, je vous recommande vivement cet ouvrage. Il n’est pas le seul, mais au moins vous avez entre les mains une personne d’expérience. Il est peut-être dépassé au niveau du matériel, cependant les principales informations à savoir sont à l’intérieur de cet ouvrage exceptionnel.
Je signale que ce lien n’est pas sponsorisé. - Sachez qu’en matière de calibration et caractérisation de la chaîne graphique, il n’y a pas qu’une seule et excellente manière d’apprivoiser la gestion des couleurs. Ne vous fiez pas au discours sans fin de meilleurs profils ICC et calibration que son concurrent qui n’a pas de sens.
Pour les personnes novices, évitez de soulever le couvercle, car le reste appartient à des physiciens, scientifique et des savants, la compagnie Internationale de l’éclairage. Maintenant si cela vous passionne, libre à vous.
Le livre recommandé vous dévoilera certainement bien plus d’informations que la plupart des utilisateurs.
Si votre objectif est l’exigence d’assurer vos travaux personnels en préparation pour l’impression fine-art en sous-traitance d’un laboratoire, une calibration de votre écran sera nécessaire est suffisante. - Néanmoins, l’utilité d’une formation complète de la gestion des couleurs est uniquement incontournable pour de la prestation sachant assumer totalement la chaîne graphique c’est-à-dire de la prise de vue à l’impression finale des tirages. Il faut comprendre tout le processus de la chaîne graphique pour sublimer et satisfaire vos clients. Ce sont deux approches bien distinctes, le métier de la photographie professionnelle et les outils des réglages des couleurs de la chaîne graphique.
La gestion des couleurs n’intervient que partiellement dans tout le processus de l’obtention d’un résultat d’impression haut de gamme exceptionnel.
Si c’est pour vos besoins personnels d’impression, faites-vous plaisir vous pouvez envisager une formation complète, mais pour des prestations de tirages fine-art haut de gamme « pour photographes exigeants » le terrain est bien plus délicat, car les besoins et les qualités doivent être au rendez-vous de la demande des clients. C’est une approche bien plus ardue. Au risque de vous fâcher avec vos connaissances. Vous êtes prévenus. Maintenant si vous avez les connaissances requises, je vous le souhaite vivement. - Les vendeurs ne sont pas les faiseurs
À ne pas confondre vous former aux outils ou au métier. Tout comme Lightroom & Photoshop sont des logiciels au service des professions de l’imagerie numérique, ce sont bien des outils, mais pas un métier. Si vous désirez utiliser Photoshop au quotidien pour être retoucheur professionnel de haut vol, il me semble indispensable d’apprendre le métier de la photographie. Sachez faire la part des choses. Le meilleur mécanicien de formule 1 n’a pas la prétention de remplacer le pilote. En revanche sans lui, le pilote n’est rien. - Toutefois la reproduction des œuvres d’art de tableaux pour un musée, des peintures, dessins, illustrations, ou photographies restent à mon humble avis un métier à part entière. Un autre cas très délicat est de travailler pour de grandes marques de luxes et de respecter parfaitement la reproduction des couleurs de leurs produits respectifs de packaging ou autres en (impression industrielle) ce n’est pas une mince affaire, dans ce cas le hasard n’a pas sa place.
- Pour un laboratoire photo Professionnel, la gestion des couleurs n’est pas un exploit, mais un devoir, une obligation. Sa mise en place est de tout de même très rigoureuse et doit être d’une grande qualité. Bein entendu qu’un chef d’œuvre photographique sans gestion des couleurs reste un chef d’œuvre, mais une photo de piètre qualité avec une excellente gestion des couleurs ne l’a sauvera pas.
- Efforcez-vous de vous appliquer dès la prise de vue et le résultat sera probablement un bon point de départ.
Jean-Pierre Maio
- La gestion des couleurs est recommandée pour mes travaux au quotidien et les expériences de mes utilisations auprès de Photo Labo pro, pour l’obtention en autres de mes certifications.